Voici quelques passage pendant ma captivité

1° Ils ont commencé par nous conduire au travail à la gare d’Attencourt, faire un quai d’embarquement.

nous avons dans le bidon 1 litre d’orge de j. ce jus, ces de l’orge grillé, comme le café et 200 grammes de pain kaka

nous travaillons pendant 8 Heures avec ça dans le bid

Le réveil  était a 5 h et nous revenons pour manger notre soupe au prison à 3 H de l’apres midi. cette souope et faite avec de la betterave sec cou avec un coupe racine tout comme pour les vaches. ils y mettez  un peut de farine pour l’épaissire. et 1 litre par hommes. Le soir 1 litre de jus comme le matin et 200 grammes de pain avec 125 grammes de marmelade ou de fromage ou saucisson ou du paté.  soupe du soir a 7 h.

Le menu et toujour a peut prés la même chosse. et le travail de même. c’est la construction de voie ferré. terrassement ravitaillement dans les gares. mais très peut car ils ont rien a se mettre sous la dent. oui le ravitaillement et bien rare chez les boches. ainsi pour nous dans notre camp de 560 hommes ils touchés un ravitaillement dans une seule voiture. pas très grande. 4 tonneaux de poissons de mer pesant 90k. 360k pour 3 jour. ensuite150k de betterave coupé. comme julienne. 150k de confiture. ou de graisse. le pain 400g par homme et par jour. environ 224k de pain par jour pour 560 hommes. tout ça ces pour 3 jours.

Oui notre journée nous semble bien longue au travail et pénible je vous assure quand nous avons mangés notre soupe du midi l’on dormé. en attendant je pouvais un morceau de croute ou de  la soupe.

Dans ce métier la cétais a celui qui avais le plus de culot. car je vous assure il ne fallait pas être honteux  et puis avoir peur de refaire misère a l’occasion de recevoir  un coup de baton. quand je penser a tout ça a mon repas. je me dissais dans le civil sil fallait que je me vois comme ça. j’aimerais mieux me pendre plutot que de souffir de la misère comme ça. et un beau jour de permissions aussi que je pensez. avsa femme. un bon lit. sont chocolat au lit et privé de rien. vous voyez tout en  sa me donne le cafard.. aussi je vais fumer un megot de cigare que j’ai rammasser en revenant de travailler.

Fait à Puzan le 25 juillet (?) 1918

André

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