4ème Chapitre

Dans ce lycée de jeunes filles nous y avons restes 15 jours, oui, 15 jours qui nous ont semblé bien long. surtout les nuits. de couché sur le planché et fatigué du travail de la journé. cétait loin le travail, 7K pour y aller et la nourriture était bien minime et trés mal organisé. de la il nous ont fait partir dans une école libre tout a trois quart demonté. ny fenetre ny toiture. au gré du vent et de la pluie. et matelas toujours le planché. mais la la nourriture était un peut meilleurs. le travail toujours la même chosse et ainsi que l’organisation. et cest la que nous  y avons touché nos premier biscuits français. 10 biscuits en tout et l’on attend les autres. ainsi les lettres et les colis. Le 2 septembre jallais en corvée dans la ville. tout était encombré par la troupe. car il fallait qu’il évacue la ville. et nos avions  y ont même fait du beau  travail avec leur bombe. quand nous avons revenue de la corvée dans la rue il y’avait des chevaux de tués par les bombes la viande rouler partout sur le trotoir. jen ais profités pour en ramasser un joli bifteck. que j’ai fait cuire avec un peu de graisse qu’il me restés. et la soupe que j’ai mangé après d’une bonne soupe au fruits et blé. il aurait fallu qu’elle soit tout les jours comme ça alors jce jour la il fallait partir de Saint Quentin pour Aisonville a 21 Kilomètres. en vitesse nous avons fait notre balle. et en route. toujours trainer notre bosse. d’un côté de l’autre. Le 4-7(septembre? ajouté en petit entre deux phrases). Enfin nous voilà sur la route que nous trouvons bien penible. car nous navons aucune force. tout le monde et trop faible. arrivé a Aisonville, enciens camp Russe (Prusse ?). ce sont des barraques assez bien fermez. nous prenons nos places. et l’on casse la croutte. 200 gr. de pain et 25 grammes de harang. avec ça. l’on peut dormir. nous ne craignons pas une indigestion. le réveil 6Hb du matin pas de travail pour personne. 2° jour la même chosse. le 3° jour quelque corvé dans le village et assez gentil. pas démonter. encore habité par les civils que sa nous semblé beau de les voire. depuis que l’on en avais vue. quand nous allions a la corvée d’eau. pour notre besoin. ils nous donner des pommes des légumes. et tout ça en cachettes car ils navais pas le droits de nosu donnertout ça. ni même de nous causer. Oui ils était bien gentils envers nous.

(depuis le début, tout était noté au crayon à papier. Maintenant c’est écrit à l’encre)

Mais nous étions bien de trop pour que l’on puisse avoir ce que l’on aurais pu avoir. dabord il faut mettre les chosses a tout car ils sont bien réquisitionné par les boches. et ils non plus le droits dans avoir une réserve pour eux même . alors vous voyer quils ne peuvent pas faire plaisir a beaucoup de prisonniers. oui, les braves femmes en sont bien chagriné eux même. de nous voir comme nous somment malheureux mais la nourriture et bien maigre car l’on nous a mis avec un autre camp. le matin 1/2 litre de jus d’orge midi soupe de betterave. immangeable car la betterave et conservé a l’acide et il non pas d’eaux pour la désalé. le trois quart des pristots la jeté la soupe. pendant 8 jours nous avons manger cette souppe. affreux moi je me suis fait porté malade le 12. Que je ne travaillé pas jallais cherché de l’eau. dans le vilage et je récolté quelques pommes et quelques légumes et je me faissais une petit soupe. comme le major me voyer toujours a la visite. il ma envoyé le 20 septembre vers Alanbeauge. je suis arrivé a l’embulance de frénoy le grand le soir a 7H1/2. nous y avons trés bien manger et dormi le matin reveille a 7H. nous avons bu notre jus. et un  bon morceau de pain  avec marmelade. nous avons nettoyer la salle des malades. et toujours les blessés nous donner a manger et a fumer. enfin dans cette ambulance. cétais le rêve pour nous. nous l’avons quitter le 21 aprés midi pour aller dans une autre ambulance. tout a coté. pas de chngement dans rien. toujours bien vivre. le 22 le réveille a 7H. la même chosse que le 21. j’avais ma musette et ma boite rempli de pain de quoi manger pendant 5 jours. a 9H l’on nous dit de partir pour prendre le train. nous embarquons a la gare. et en route pour Avesnes.

a Avesnes l’on descend du train. nous voyons une jolie petite ville. l’on nous conduit a l’hopital. cest une caserne. l’on nous place dans des barraques assez logable. et l’on nous fait passer a la désinfection et doucher. vraiment l’on en avais bien de besoin. depuis 4 que l’on roulé de droite et de gauche et jamais rien pour se nettoyer. je vous assure aprés notre douches que nous étion splus les même. tellement l’on se trouvés a son aise. ensuite nous avons mangé d’un bon apétis féroce. et bien dormi. le 23 au matin jus a l’orge. et notre pain 200 grammes  avec confiture. a 10H la visite. le major me déclare bronchitte. donc il faut je montte au 3° etage. a midi soupe au mouille très bonne. a 3H pain au confiture 200g et jus. 6H soupe a l’orge rien épatant. et 200 gra. de pain. voila le menbu de l’hopital tout les jours la même chosse. maintenant j’attend. le jour que je sortirais.

Le 25 septembre 1918. 3H de l’aprés midi. je vais manger mon casse croutte.

Leave a Reply

You can use these tags: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>